22 septembre 2010
La vie à deux
Dormir à deux c'est prendre le risque d'entendre, chaque nuit, le son mélodieux des opéras Wagneriens et de risquer une pleurésie faute de couvertures sur le corps.
Pour ma part, dès que je me glisse sous la couette, les modulations ô combien sonores débutent alors que la minute d'avant il n'y avait pas le moindre souffle perceptible dans la chambre. Un peu comme si, inconsciemment, mon cher et tendre n'attendait que moi pour exprimer la puissance de son "palais" aux mille et nuits ... blanches pour moi !
Et tant qu'à faire que ne pas fermer l'oeil, j'ai également le droit de me geler un peu ... faute de couverture. Précaution prise tout aussi inconsciemment ?? J'ai un doute ...
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